Y a t il un Ministre de l'Industrie en France : aprés l'Informatique , les Télécoms ?
Ce soir aprés les annonces mal maitrisées sur de nouvelles suppressions d'emploi ( un millier en France dans le groupe ALCATEL-LUCENT) la CFE-CGC ne souhaite pas jouer l'éternel jeu de
la mise en cause des dirigeants de ALU ( Nous n'avons pourtant pour eux nulle sympathie : ils n'en ont de toute façon pas besoin : leur avenir et celui de leurs famille est assuré) .
Non c'est aux politiques Français que nous nous adressons .
Y a t il quelqu'un au Ministère de l'Industrie ou de l'Emploi pour faire autre chose que des constats et des additions de suppressions d'emploi ?
La rapport Faure sur les Télécoms en 2007 posait le problème, le Président Nicolas Sarkozy semblait l'avoir compris .
Ce qui se joue actuellement est la disparition de la France du paysage des équipementiers Télécoms ( qu'on regarde la situation des Ex-Matra devenus Nortel en train d'être volés et abandonnés à Chateaufort dans la circonscription de Valerie Pécresse ) . Après la démission dans l'informatique dans les années 80, la démission dans les équipements Télécoms est en cours ( routeurs IP, composants optiques à ultra haut débit, radio large bande pour l'Internet mobile haut débit ).
Et au profit de qui ? : les Chinois.
Que nos dirigeants d'entreprise en soient réduit à encenser les mérites d'une dictature communiste en dit long sur leur pragmatisme et leur moralité.
Mais l'Etat Français que croit il ? Que la maitrise technologique et la production industrielle de ce secteur peuvent être abandonné à la République Populaire de Chine sans problème ?
On joue au simulacre de la concurrence dans des appels d'offre Télécoms en France soumis aux lobbys et aux réseaux ( pas Télécoms ) et on soumet les prix à la concurrence de société non cotées possédées par l'Armée chinoise.
Alors à qui se posent vraiment les questions aujourd'hui face à ces annonces ? Eh bien aux politiques en charge du destin industriel et technologique de notre nation. Sans parler des conséquences sociales ravageuses de cette politique à courte vue .
Dans les conditions de concurrence et de marché qui sont faites à ALCATEL-(LUCENT ) les mesures annoncées ne surprendront personne. Et si demain la consolidation se poursuit entre Nokia-Siemens-Network , Ericsson et ALU en Europe ou que l'un des acteurs abandonne définitvement son ancrage européen nos politiques ne pourront dire q'ils ne savaient pas : qu'il assument. Nous ne parlerons même pas de la commissaire européenne sur ce point : mieux vaut rester polis.
La CFE-CGC ALCATEL-LUCENT estime que le minimum serait que le Ministére de l'Industrie entende les représentants de L'Intersyndicale sur ce dossier.
Les syndicats de ALCATEL-LUCENT ne demandent pas des préretraites ou des chêques départ mais le maintien d'une filière Télécom en France.
Non c'est aux politiques Français que nous nous adressons .
Y a t il quelqu'un au Ministère de l'Industrie ou de l'Emploi pour faire autre chose que des constats et des additions de suppressions d'emploi ?
La rapport Faure sur les Télécoms en 2007 posait le problème, le Président Nicolas Sarkozy semblait l'avoir compris .
Ce qui se joue actuellement est la disparition de la France du paysage des équipementiers Télécoms ( qu'on regarde la situation des Ex-Matra devenus Nortel en train d'être volés et abandonnés à Chateaufort dans la circonscription de Valerie Pécresse ) . Après la démission dans l'informatique dans les années 80, la démission dans les équipements Télécoms est en cours ( routeurs IP, composants optiques à ultra haut débit, radio large bande pour l'Internet mobile haut débit ).
Et au profit de qui ? : les Chinois.
Que nos dirigeants d'entreprise en soient réduit à encenser les mérites d'une dictature communiste en dit long sur leur pragmatisme et leur moralité.
Mais l'Etat Français que croit il ? Que la maitrise technologique et la production industrielle de ce secteur peuvent être abandonné à la République Populaire de Chine sans problème ?
On joue au simulacre de la concurrence dans des appels d'offre Télécoms en France soumis aux lobbys et aux réseaux ( pas Télécoms ) et on soumet les prix à la concurrence de société non cotées possédées par l'Armée chinoise.
Alors à qui se posent vraiment les questions aujourd'hui face à ces annonces ? Eh bien aux politiques en charge du destin industriel et technologique de notre nation. Sans parler des conséquences sociales ravageuses de cette politique à courte vue .
Dans les conditions de concurrence et de marché qui sont faites à ALCATEL-(LUCENT ) les mesures annoncées ne surprendront personne. Et si demain la consolidation se poursuit entre Nokia-Siemens-Network , Ericsson et ALU en Europe ou que l'un des acteurs abandonne définitvement son ancrage européen nos politiques ne pourront dire q'ils ne savaient pas : qu'il assument. Nous ne parlerons même pas de la commissaire européenne sur ce point : mieux vaut rester polis.
La CFE-CGC ALCATEL-LUCENT estime que le minimum serait que le Ministére de l'Industrie entende les représentants de L'Intersyndicale sur ce dossier.
Les syndicats de ALCATEL-LUCENT ne demandent pas des préretraites ou des chêques départ mais le maintien d'une filière Télécom en France.